À la suite du dernier rapport du GIEC, les recommandations faites par les scientifiques encouragent les solutions déjà en place dans la filière paysage.
L’extrême urgence climatique dans laquelle nous nous trouvons, rappelée par les experts du GIEC, intensifie la mise en œuvre de solutions pour la biodiversité et la réduction des émissions de gaz CO2. Ainsi, ce rapport encourage explicitement les particuliers et les entreprises à accroître leur réflexion pour intégrer plusieurs directives dans les constructions nouvelles et existantes :
- des productions d’énergies plus vertes
- des rénovations durables et des constructions à énergie passive
- une baisse des déchets et de la pollution
- une augmentation de l’agroécologie, de l’utilisation du végétale et du maintien de la réserve en eau
En ce sens, les paysagistes et leurs fournisseurs sont d’ores et déjà des acteurs primordiaux dans cette course pour la nature, puisqu’ils sont en mesure de concevoir, de proposer et d’aménager, des espaces publics et privés, en prenant en compte les recommandations du GIEC.
Toujours plus d’arbres !
Là où certaines grandes entreprises s’engagent déjà pour réduire leurs émissions de CO2 par la plantation de végétaux, pour les paysagistes, c’est leur cœur de métier. C’est à eux de proposer davantage d’aménagements vivants, pourvus d’arbres, d’arbustes et de petits végétaux, dans les petits et grands jardins.
Dans cette optique, Urbasense et son bureau d’étude accompagnent la filière dans l’élaboration de palette végétale adaptée aux contraintes climatiques, la fiabilisation des plantations dans le maintien de la réserve en eau.
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